vivre en communauté spirituelle

Grandchamp étant situé non loin de la frontière linguistique et culturelle qui sépare la Suisse alémanique de la Suisse romande, les sœurs furent très vite invitées à faire les premiers pas à la découverte de « l’autre différent ». Enracinées dans la méditation de la Parole et attentives à la tradition de l’Église dans leur recherche d’une vie commune et dociles à l’Esprit Saint, les premières sœurs retournent aux sources : elles redécouvrent le courant de la vie monastique à travers l’amitié et le soutien de communautés anglicanes, catholiques et orthodoxes. Une évidence s’est vite imposée à moi : après deux années de recherche, j’avais enfin trouvé ma famille spirituelle. J’ai fait plusieurs formations qui m’ont permis de travailler, tout en cherchant ma vocation. “Jésus gravit la montagne et dit : Heureux les pauvres de cœur !” (Mt 5,3). Sa vocation œcuménique l’engage sur le chemin de la réconciliation entre chrétiens et dans la famille humaine, du respect de tout le créé. Pour moi c’était plus qu’un simple passe-temps libre. Dès les débuts, la communauté était entourée de personnes qui portaient en elles le désir de vivre dans une même spiritualité, mais en plein monde ; de là est née toute une famille spirituelle : le Tiers Ordre de l’Unité, les Servantes de l’Unité, ainsi que celles et ceux qui vivent une communion avec nous. J’y ai vécu une expérience forte avec le Dieu vivant. « Serviteurs de Dieu » (Isaïe 53) ! ». » (Jean 17), Ici vous trouvez une méditation sur la vie commune. J’ai fait un volontariat dans les Commandos Marine en passant la sélection comme officier de réserve. Je m’appelle Sr Emilie du Cœur de Jésus et de Marie. Comme dans mon expérience, je souhaite leur parler de cette source profonde de bonheur que cherche chaque homme. Je suis né en Suisse allemande…, Nous sommes Guillem et Esther. Ce qui m’a attiré vers eux, c’est qu’« ils priaient et mangeaient ensemble », disaient déjà les martyrs de l’Ouganda : la mission en vie communautaire, pour témoigner du « voyez comme ils s’aiment ». Un jour, une amie m’a proposé d’aider les frères et sœurs du foyer de Gharzouz dans une de leurs missions (l’organisation de journées spirituelles pour des écoles pendant le Carême). Et Dieu s’est bien servi de cela comme d’un tremplin. Petit à petit j’ai réalisé qu’elle correspondait à ce que je désirais et j’ai décidé d’y rentrer. Jésus comble le cœur de celui ou de celle qui Lui donne tout. Témoignages sur le congrès en ligne - 2021 Elaine Champagne – Professeure - Université Laval - Québec - Elaine.Champagne@ftsr.ulaval.ca À la fin de ce congrès très riche et particulièrement stimulant, trois points retiennent spécialement mon attention. 905.4k Followers, 278 Following, 6,791 Posts - See Instagram photos and videos from OKLM (@oklm) La perspective de la vie éternelle était une consolation pour nous. Tél +41 32 842 24 94, mail : communaute@grandchamp.org. J’ai attendu et prié que le moment vienne pour Guillem. Avec des amis spirituels, en qui nous avons confiance. Esther : cette évidence m’est apparue en premier. Dans un esprit d’ouverture au monde, la communauté cherche des liens et des échanges avec d’autres communautés, groupes, mouvements, personnes engagé-e-s, particulièrement avec : « Toi qui veux donner ta vie à cause du Christ et de l’Evangile, sache que, même dans ta propre nuit, tu avances avec lui vers la lumière. Venez-nous aider, vivre et partager un espace de pleine conscience, en communauté. Comment est-ce arrivé ? La communion des états de vie est un véritable défi à relever aujourd’hui et demain pour évangéliser et annoncer la bonne nouvelle du Christ. C’est là que mon aventure avec Jésus a commencé ! Tu discernes un appel ? » (Jn 14, 6), « Me voici Seigneur, sans retard, sans réserve, sans retour, par amour ! La compétition était devenue pour moi source de reconnaissance. La solution pour y arriver, c’était la vie communautaire car, même si chacun a son chemin, on ne peut y arriver seul. Le noviciat comporte une 1. Un grave accident de scooter avec mon frère aîné. C’est ainsi que je décidai de m’y rendre aussi pour essayer de comprendre la volonté de Dieu. », « Pour comprendre la vocation dans toutes ses conséquences, les nouvelles sœurs ont besoin d’un temps de maturation. Jusqu’à présent il a dépassé toutes mes attentes. C’était ma vie. Je me sentais chez moi ! Alors, avec d’autres Pères Blancs, nous avons fondé une petite fraternité de moines-missionnaires. – j’y ai vu des frères et sœurs partageant tous un grand désir de sainteté, et cherchant, chacun avec ses faiblesses, à vivre d’abord la radicalité de la charité. Deux ans auparavant, j’avais vécu une retraite spirituelle, pendant la Semaine Sainte, à la Communauté des Béatitudes à Nouan-Le-Fuzelier. » Je savais que je pouvais compter sur sa Fidélité, alors, je Lui ai dit « Oui ». La Sainte Vierge est venue me chercher dans toutes mes impasses et a commencé à me conduire pas à pas pour me faire revenir à l’Eglise et me permettre de découvrir la Communauté. Congrégation des Serviteurs de Jésus et de Marie, frères religieux apostoliques, Abbaye d'Ourscamp (Oise), Prieuré d'Ottmarsheim (Alsace), Casa Padre Lamy (Argentine) Un élargissement parce qu’elle explicitait un chemin nouveau, celui de la vie en fraternité : invitation à rejoindre de plus défavorisés dans leur lieu de vie pour y être une simple présence de prière et d’amitié, de partage. Ces contacts leur ont été d’une grande aide dans leur recherche d’une vie de prière et de la vie communautaire. L’évêque qui nous accueilla, le Bx Mgr Pierre Claverie, nous accompagna alors jusqu’au Lion de Juda et l’Agneau immolé. Nous proposons aussi des veillées de prière, des retraites et des sessions toute l’année. Sept mois après mon entrée, j’ai rejoint Jérusalem pour une année d’étude, puis suis descendu à Rome pendant trois ans pour poursuivre les études de théologie. Elle est située à 7 km de Fribourg (Suisse). Il n’est pas fait pour vivre seul, sans interaction avec ses semblables. Je découvrais ainsi la « Communauté des Béatitudes ». Le reste ça peut être bien, mais à côté, ce n’est pas grand-chose. L’âge avancé ou un handicap obligent certaines à vivre dans un hôme ou un foyer spécialisé – des situations que nous partageons et que nous vivons en solidarité avec tant d’autres personnes aujourd’hui. Paix et joie immenses, certitude intérieure qu’il fallait m’engager pour Dieu et son Eglise. Pratiquement dans la même période j’ai découvert la Communauté des Béatitudes qui était venue faire une mission dans ma paroisse. Répondant à différents appels, des sœurs sont envoyées en fraternité en Algérie, au Liban, à Jérusalem et ailleurs. Nous ne pouvons pas aimer l’autre sans nous aimer nous-même, et pour nous aimer, nous avons besoin de nous connaître. La vie fraternelle est un cadeau précieux. Après deux ans de philosophie à la Catho de Paris, puis deux années comme coopérant en République islamique de Mauritanie, je me suis retrouvé pour un séjour d’une semaine, à la toute nouvelle maison de la Communauté de Pont-Saint-Esprit, grâce à des amis. Le Seigneur s’est bien servi de mon attirance pour les différents pays et cultures, pour faire de moi son ambassadrice… au Pérou, en proclamant son amour comme missionnaire. Nous comprîmes que Jésus était une personne, vivante et agissante, qui nous appelait à sa suite à marcher dans la sainteté. La rencontre avec frère Roger et les liens avec la communauté naissante de Taizé vont être déterminants pour la suite. Quelques années plus tard je décidai de Lui consacrer toute ma vie. Notre vie commune a pour vocation d’être une « parabole de communion », un signe, d’un possible enrichissement de nos différences. » J’appréciais la beauté du mariage et j’aimais beaucoup les enfants. J’ai rejoint la Communauté il y a quatorze ans déjà,…, Je m’appelle Sr Emilie du Cœur de Jésus et de Marie. Je poursuivais ma scolarité puis mes études. Puis nous l’avons fréquentée en allant régulièrement faire des séjours dans la maison de Saint Martin du Canigou à 250 kms de chez nous. À travers l’accueil dans la communauté de femmes allemandes et hollandaises, peu après la 2e Guerre mondiale, la vocation d’unité s’élargit à la vocation de réconciliation. Je me souviens de mon premier appel qui remonte à l’âge de 7 ans. Mais en lisant la vie de Mère Teresa, j’ai vu que l’action la plus efficace de toutes pour le bien de ce monde, c’était la prière et la charité. Elle s’installe à Grandchamp en 1936, bientôt rejointe par Marguerite Bossert qui habitait le hameau. C’est plus tard, et contrairement à toutes mes attentes, que je les ai trouvées au sein de l’Eglise catholique. Si nous, nous sommes inconstants, notre Dieu est fidèle, nous pouvons compter sur Lui ! Nous avions connu la Communauté aux sessions d’été qu’elle organisait à Lourdes. C'est un mot que nous employons souvent, en lui donnant peut-être plusieurs sens différents. Dans un monde blessé par les divisions, Dieu nous appelle à vivre la réconciliation. Après la guerre, de jeunes femmes d’Allemagne, de France et des Pays-Bas ont rejoint les premières soeurs. C’était en 1979, il y a cette année 40 ans (déjà) ! Alors je voudrais simplement te dire : si tu es baptisé, écoute ton cœur, et non tes peurs. J’ai eu la chance de passer un doctorat biblique sur la version araméenne ancienne des Évangiles pour annoncer Jésus en s’appuyant davantage sur l’autorité du texte même, et participer aux travaux catholiques de retraduction. QUELLE EST LA VOLONTÉ DE DIEU POUR MA VIE ? Le choix de vivre en communauté est motivé par le désir d'évoluer sur le plan spirituel, c'est ce qui arrive quand les angles de nos caractères et de nos habitudes sont arrondis à travers la confrontation avec les autres. Après avoir vécu une belle enfance, très tôt, dès l’âge de 12 ans, j’ai commencé à mener une vie de plaisir et de liberté absolue, des fêtes et soirées à répétition. La dimension juive ou de l’Orient chrétien, s’accordaient bien aussi à mes pôles d’intérêt. Bien plus tard, j’ai réalisé que je me trouvais dans une recherche permanente de performances. J’avais tout pour être heureuse mais je cherchais désespérément un sens à ma vie. J’ai grandi non loin de Saint Gall en Suisse. Au petit séminaire, j’ai rencontré un Père blanc (missionnaire d’Afrique). Attiré par la qualité de la vie fraternelle et par la beauté de la liturgie, j’ai rejoint, à l’âge de 21 ans, la maison de la Communauté à Zug (Suisse allemande). C’est très difficile de l’écrire en quelques mots, mais je peux simplement dire que je me suis rendu compte de mon égoïsme et de la froideur de mon cœur, en même temps que je découvrais l’amour ineffable de Dieu pour moi. Leur souhaitant de découvrir que seul Jésus peut combler nos désirs profonds, « Il est le Chemin, la Vérité et la Vie ! On voyait que la fécondité des missions de la Communauté prenait sa source dans la vie de prière. Avec l’évidence que le Seigneur m’y attendait. Cependant, je lui ai dit : « Juste pour aujourd’hui » ! Cela n’est pas toujours facile, mais nous expérimentons que plus on est pauvre, plus on est riche, et plus grandit en nous la certitude que le Seigneur Seul agit dans les cœurs au milieu du monde. J’y pratiquais de l’alpinisme au Kilimandjaro et de la plongée sous-marine. ». Vous aimez la Communauté et sa spiritualité, vous lisez nos actualités ou participez à nos activités, partagez votre expérience à vos proches en un clic ! Je travaille en effet aux Editions des Béatitudes à Nouan-le-Fuzelier. Il fallait briller. J’y suis depuis seize ans et prêtre depuis maintenant six ans. Le sens de ma vie était maintenant JÉSUS ! Toutefois notre première mission est la prière. Je vis, avec mes frères et sœurs sur notre foyer spirituel des Béatitudes de l’Eau vive, la prière, l’accueil, et les temps forts spirituels. J’ai quitté Paris pour vivre une, puis deux années à la Communauté. C’était alors un appel à la vie consacrée. Guillem : pendant une Semaine Sainte à la Communauté à l’abbaye Saint-Martin, en faisant du jardinage, j’ai ressenti moi aussi cet appel ! J’ai donc choisi la Communauté car il me semblait que le grand désir que j’avais de me donner à Dieu pouvait se concrétiser dans ce choix de vie où contemplation et mission s’entremêlaient de manière forte. Nous sommes Guillem et Esther. Sa conscience spirituelle débute à une échelle humaine. Jésus est présent : Il console les affligés, Il rend fort les faibles, Il guérit les cœurs brisés, Il donne espérance où il y a découragement. C’est Marguerite de Beaumont (1895 – 1986), qui va accepter cette tâche. De retraite en retraite la folie d’un appel retentissait en moi et faisait tomber tous les autres désirs déjà présents. Vivre la communion spirituelle L’épidémie de COVID-19 empêche la célébration des messes à l’église. Quelle place donnais-je à l’Eucharistie dans ma vie ? De famille…, Nous nous sommes mariés en 1993, et avons trois enfants. Ils ont choisi de vivre en communauté ... ainsi qu’un centre d’accueil et de formation humaine et spirituelle en plus du siège national et international de Fondacio. Esther avait fait des études d’institutrice et de pianiste et Guillem des études de journalisme. Au terme toutefois, mon cœur balançait entre l’entrée au monastère et l’une de ces ‘communautés nouvelles’ qui faisaient leurs premiers pas. J’ai été ordonné prêtre en 1974 et envoyé en mission dans le désert du Sahara. Et pourtant je n’en prenais pas le chemin ! Participez à la nouvelle évangélisation en soutenant la Communauté des Béatitudes, ses missions et la formation des apôtres de demain ! Aujourd’hui, je vis mon appel communautaire au sein de la Branche laïque en ayant fait un vœu de célibat pour le Royaume. Ayant vécu des phases de remise en question de ma foi d’une part, aimant beaucoup la vie et rêvant de projets d’études avancés et de mariage d’autre part, j’étais loin de penser qu’un jour je « tomberais amoureuse de Dieu » et que cet amour m’appellerait à tout abandonner, et à tout donner. Avec une maman orthodoxe et un papa musulman, c’était difficile ! dans la vie de prière avec l’adoration et l’eucharistie journalières, avec les différents offices (ainsi que le petit Triduum pascal) qui fortifient ma relation avec Dieu, approfondissant de plus en plus ma confiance en Lui. de ton cœur, ne crains pas d’être dérangée par ceux et celles qu’Il t’envoie, ne te réserve pas ! Nous étions tous les deux gravement blessés. Après cette découverte de l’amour de Dieu pour moi j’ai voulu me mettre au service du Seigneur et passer du temps avec Lui dans la prière. Mais tout cela, pour gagner un petit trophée en métal et être acclamé après la compétition. Je suis devenue citoyenne de ce Royaume, cherchant le chemin de mon cœur pour y habiter encore plus profondément et pour le communiquer autour de moi. Oh, je n’y étais pas allée de gaieté de cœur : ce sont mes parents qui m’y ont emmenée. De plus en plus de jeunes adolescents arrivent avec une demande de baptême ou d’autres sacrements de l’initiation chrétienne.Ils sont quelques fois déjà intégrés dans un lieu d’Eglise, une communauté, un mouvement, ou, une proposition leur est faite de rejoindre un groupe de jeunes chrétiens du même âge.

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